En 1891, pour répondre à un appel venu d’Egypte, les sœurs fondent au Caire une communauté dont l’activité principale est d’abord le soin des malades à domicile. Elles sont vite appréciées par les familles qui les appellent auprès de leurs malades à qui elles donnent le meilleur d’elles-mêmes. Tout est nouveau pour nos quatre jeunes religieuses. Aussi font-elles plus ample connaissance avec cette terre accueillante. Elles ne se contenteront pas de se dévouer auprès des familles riches de la capitale, mais chercheront à se mettre au service des plus démunis.
1- Pour répondre aux sollicitations des familles, les sœurs ouvrent un pensionnat à côté du dispensaire. Une centaine d’élèves sont inscrites à la fondation de la petite école. Là encore, il faut penser à créer des locaux plus spacieux pour accueillir le nombre sans cesse croissant de nouvelles élèves. Aujourd’hui, l’école fondée en 1893 compte plus de neuf cents élèves, de la maternelle jusqu’aux classes secondaires. A côté du programme officiel de langue arabe et de matières nationales, le français est enseigné comme première langue. Toutefois, le niveau d’anglais 2ème langue, dispensé dans nos établissements, reste suffisamment élevé pour permettre aux élèves d’acquérir des bases solides et d’avoir accés aux universités.
3- Par ailleurs, un ouvroir dirigé par une religieuse dépanne des jeunes filles ou des dames n’ayant pas réussi dans leurs études. Elles peuvent s’initier à la coupe, à la broderie, au crochet ou au tricot, s’assurant ainsi les moyens de gagner leur vie.
2- Deux ans plus tard, en 1893, dans le quartier de Faggalah, elles ouvrent un dispensaire qui accueille des malades de toutes confessions. Il faudra bientôt l’agrandir pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses. Ce dispensaire fonctionne jusqu’aujourd’hui, grâce à la présence d’un médecin et d’une infirmière.
En 1903, dans la ville d’Alexandrie, les sœurs se voient confier la direction de l’hôpital austro-hongrois et celle de la clinique Legrand et Hadgès. Dans la même ville d’Alexandrie, elles fondent un foyer pour jeunes filles, jusqu’en 1942, et ouvrent par la suite une maison pour dames âgées ou infirmes. Par suite de circonstances déterminantes, l’établissement sera fermé en 1959.
En 1912, fondation à Port-Saïd:
La communauté visite et soigne les malades à domicile et prend en charge une clinique chirurgicale qui fonctionnera sans interruption. Cette clinique - appelée « Hôpital Notre Dame de la Délivrande » - compte une trentaine de lits et s’est modernisée après la guerre.
En 1921, les sœurs fondent une école et un dispensaire à Héliopolis.
Cette école accueille aujourd’hui près de huit cents élèves. On y enseigne le même programme qu’à Faggalah, et elle se caractérise par le même esprit de famille.
De 1936 à 1948, les sœurs ont dirigé un établissement scolaire situé à Guiza
En 1891, pour répondre à un appel venu d’Egypte, les sœurs fondent au Caire une communauté dont l’activité principale est d’abord le soin des malades à domicile. Elles sont vite appréciées par les familles qui les appellent auprès de leurs malades à qui elles donnent le meilleur d’elles-mêmes. Tout est nouveau pour nos quatre jeunes religieuses. Aussi font-elles plus ample connaissance avec cette terre accueillante. Elles ne se contenteront pas de se dévouer auprès des familles riches de la capitale, mais chercheront à se mettre au service des plus démunis.
1- Pour répondre aux sollicitations des familles, les sœurs ouvrent un pensionnat à côté du dispensaire. Une centaine d’élèves sont inscrites à la fondation de la petite école. Là encore, il faut penser à créer des locaux plus spacieux pour accueillir le nombre sans cesse croissant de nouvelles élèves. Aujourd’hui, l’école fondée en 1893 compte plus de neuf cents élèves, de la maternelle jusqu’aux classes secondaires. A côté du programme officiel de langue arabe et de matières nationales, le français est enseigné comme première langue. Toutefois, le niveau d’anglais 2ème langue, dispensé dans nos établissements, reste suffisamment élevé pour permettre aux élèves d’acquérir des bases solides et d’avoir accés aux universités.
2- Deux ans plus tard, en 1893, dans le quartier de Faggalah, elles ouvrent un dispensaire qui accueille des malades de toutes confessions. Il faudra bientôt l’agrandir pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses. Ce dispensaire fonctionne jusqu’aujourd’hui, grâce à la présence d’un médecin et d’une infirmière.
3- Par ailleurs, un ouvroir dirigé par une religieuse dépanne des jeunes filles ou des dames n’ayant pas réussi dans leurs études. Elles peuvent s’initier à la coupe, à la broderie, au crochet ou au tricot, s’assurant ainsi les moyens de gagner leur vie.
En 1903, dans la ville d’Alexandrie, les sœurs se voient confier la direction de l’hôpital austro-hongrois et celle de la clinique Legrand et Hadgès. Dans la même ville d’Alexandrie, elles fondent un foyer pour jeunes filles, jusqu’en 1942, et ouvrent par la suite une maison pour dames âgées ou infirmes. Par suite de circonstances déterminantes, l’établissement sera fermé en 1959.
En 1912, fondation à Port-Saïd:
La communauté visite et soigne les malades à domicile et prend en charge une clinique chirurgicale qui fonctionnera sans interruption. Cette clinique - appelée « Hôpital Notre Dame de la Délivrande » - compte une trentaine de lits et s’est modernisée après la guerre.
En 1921, les sœurs fondent une école et un dispensaire à Héliopolis.
Cette école accueille aujourd’hui près de huit cents élèves. On y enseigne le même programme qu’à Faggalah, et elle se caractérise par le même esprit de famille.
De 1936 à 1948, les sœurs ont dirigé un établissement scolaire situé à Guiza